mardi 20 mai 2008

Il me semble qu'on tait du!

Je l'ai écrit sur un papier brouillon, parce que c'est comme ça, tout simple, mon coeur est un brouillon, et toi, tu en es le propre. J'ai lu des mots anciens hier, des mots usés presque brisés par le temps, des mots doux lancés comme une promesse... et ça m'a pris d'un seul coup. Comme quand le soleil tappe trop fort ou comme quand la pluie te dégoulines dans le visage. Dans ces moments-là, tu dois te rendre à l'évidence, tu peux plus passer à côté: tu brûles ou tu ruisselles. Mais au fond, ça revient au même parce que ça te prend à la peau et ça vient toucher ton coeur au plus creu de l'oreillette gauche. Et tu souries aussi... bêtement... parce que t'as pas le choix, parce que t'as pas d'autres choix. Tu regardes autour, en t'attardant pas à ce qui se passe, parce que ça t'importes pas. Je t'aime, tu vois? C'est pas si simple que ça au fond, même que c'est compliqué, mais j'ai pas envie de passer à côté. Je veux le vivre et le pleurer comme il faut... à 200%. Je veux que tu ris à en pleurer avec moi, juste parce que c'est bon...

Alors, t'es prêt? Vas-y, aime-moi. Je sais... ça fait un peu peur, mais aime-moi. Ça peut faire mal aussi, mais aime-moi. Ça peut changer, mais aime-moi. Tu vas voir, c'est doux, un peu comme du sucre et de la vanille... Aime-moi comme je t'aime.

Je t'aime.

1 commentaire:

Miss Étoile a dit…

Honnnnnn ! c'est tout ce qu'il y a à dire ^^